Baba noël de Saoud vient de faire un joli cadeau à l’Algérie en envoyant ses bombardiers sur la ville de Taez. Les officiels Algériens sont certainement aux anges d’être si considérés. L’Arabie les a gratifiés d’une succulente charcuterie au souk populaire de Taez où l’on vend la terreur à tout preneur vendu. Il parait que le chef du gouvernement apprécie certaines parties en méchoui. Vous voilà servi, monsieur ! Mangez à satiété, monsieur, jusqu’à roter pour signifier votre plaisir à Messire qui ne manquerait pas de vous féliciter d’avoir de l’appétit. J’aurais aimé vous prêter mes mots pour vous aider à relever le défi, mais ils sont tellement dignes et fiers qu’ils refusent une langue où nidifie la perfidie. J’aurais aimé vous prêter ma plume, mais elle est tellement algérienne qu’elle refuse d’être païenne et vendue. L’Algérie a tellement peur qu’elle n’ose même pas déplorer. Au contraire, elle souhaite, mais à part soi, que les Yéménites ripostent en envoyant un nouveau missile pour vite le condamner vivement et publiquement. Oui, dans le malheur, il faut que l’Algérie soit solidaire avec la grande sœur...Amen!
Ce blog se veut un antre littéraire où s’escriment les mots entre prose et poésie pour livrer à la vie un écrin de bonheur enchâssé de rubis du dire et de l'écrit. À l'encre du cœur, la plume de l'auteur se ressource pour tisser un tapis de lumière où les mots projecteurs balaient l'obscurité. Au sang de l'esprit, le poète rince son âme à l’eau pure de sa raison qui se pâme sur le parvis fiévreux de son ressenti.
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