.feed-links {display: none;}

lundi 24 juillet 2017

Monsieur Hamas et le terroriste(1)



Monsieur Hamas, il faut que tu saches que tu as en face de toi un État hors du commun qui ne répond à aucune norme de la logique humaine. Non seulement il réunit tous les attributs qui font de lui un État voyou, mais pire encore, il obéit à une doctrine militaire en dehors de toute orthodoxie dont le credo est l’assassinat systématique. Israël n’est point un État, il est plutôt un système à l’image de l’Apartheid, son homologue sud-africain. Toute sa philosophie repose sur le crime à grande échelle sans limites et sans interdits. De la base au sommet, ne gravissent que les psychopathes et les schizophrènes politiques. Les citoyens sont militarisés idéologiquement de telle façon que tous les pans de la société, tous secteurs confondus, sont imprégnés du même dogme et agissent en conséquence selon le même mode de pensée en appliquant la même théorie…

Finalement, toute la communauté défend les mêmes idéaux sans tenir compte des principes moraux qui régissent les relations humaines. Sioniste et totalitaire, Israël utilise tous les moyens qu’il met en œuvre pour commettre des génocides impunément. Toute l’élite est appelée à soutenir ce système en dispensant un enseignement édifiant en direction de la masse qui bénit à son tour une telle action.

Monsieur Hamas, tu n’existes pas pour Israël. Vous êtes déjà morts, toi et tes compères et même Fatah et ses prétentieux sbires, dans les plans machiavéliques de la machine sioniste. Aucun Palestinien ne doit survivre dans un premier temps. Suivront systématiquement les autres Arabes et bien d’autres ethnies de par le monde. Israël fait partie d’un système dont les ramifications sont internationales ; celui-ci prend d’abord ancrage aux États-Unis qui lui garantissent d’une manière inconditionnelle sa suprématie et sa pérennité…

Les gens que tu as en face sont loin d’être des enfants de chœur et toutes leurs actions sont étudiées et calculées d’avance et à dessein. Ils ne perdent jamais la boussole en œuvrant toujours dans le même sens et la même direction. Ne baissant jamais les bras, ils ne reculent devant rien pour réaliser leurs objectifs, doivent-ils anéantir tout un peuple, éradiquer un pays, détruire le monde. Sans foi ni loi, ils ne respectent aucun précepte moral en utilisant tous les stratagèmes et fourberies, machination et artifice pour arriver à leur but. Machiavéliques, perfides, rusés, retors, artificieux, diaboliques, captieux, insidieux, hargneux, hostiles et malveillants, ils ne considèrent ni accord, ni serment, ni traité.

Finalement, monsieur Hamas, tu ne fais que jouer leur jeu quand tu décides de lancer des roquettes et missiles dans le cadre d’une défense, somme toute, légitime, car ils ont opté depuis longtemps pour exterminer le peuple palestinien. Ils appliquent le même procédé que certains colons envahisseurs avaient utilisé contre les Indiens, enfin les autochtones d’Amérique, les véritables Américains. À Gaza spécialement, ils mettent en œuvre ce que leurs prédécesseurs avaient suggéré aux nazis pour organiser l’holocauste. Avec Gaza, l’histoire se répète et ce qui se trame actuellement rappelle crûment ce qui s’était vraiment déroulé à Varsovie lors de la Deuxième Guerre mondiale. En effet, l’autonomie accordée à Gaza n’était qu’un cadeau empoisonné, car sitôt le retrait des troupes israéliennes et le démantèlement des colonies effectué, elle fut transformée en ghetto.

Monsieur Hamas, penses-tu qu’Israël est capable de charité ?

Monsieur, il est strictement impensable qu’Israël soit auteur d’une telle absurdité. Ouvre tes oreilles et écoute :
« … Il parait que Theodor Herzl, le père fondateur du sionisme et de l’État juif, avait proposé dans un premier temps une solution au problème juif qui ne cessait de le tourmenter. Il voulait coûte que coûte convertir tous les Hébreux au christianisme, car l’affaire du capitaine Dreyfus l’avait gravement marqué en éveillant sa conscience. Il sut qu’il était impératif pour les israélites d’avoir leur propre État. Il écrivit un livre intitulé “L’État juif” où il développe une thèse qui stipule que le futur État doit être le salut de tout juif susceptible d’être persécuté. Son antisémitisme vient de son mépris des Juifs observant rigoureusement la Torah et les traditions juives. En effet, ceux-ci refusaient catégoriquement de laisser tomber le judaïsme au profit du christianisme ; ils considéraient cela comme une haute trahison. Les différents congrès à partir de Bâle en Suisse n’ont pas réussi à convaincre les gens à quitter leurs pays d’accueils pour rejoindre la Terre sainte, qui n’est autre que Palestine. La logique interdisait une telle perspective, puisqu’on était dans l’esprit de “un tiens vaut mieux que deux tu l’auras”. Une truite dans la marmite vaut plus que deux saumons dans la rivière. Les gens avaient un pays, une identité, des biens, une vie sûre et assurée et n’étaient pas prêts à tout risquer pour une chose incertaine…

Cependant, les sacrés penseurs du sionisme trouvèrent en l’avènement de la Deuxième Guerre mondiale une occasion inouïe pour concrétiser leur dessein, à savoir la création de l’État juif. Pour ce faire, ils avaient besoin d’amener les israélites à émigrer en masse vers la Terre promise. Ceux-ci, toujours réticents, refusèrent toute invitation et incitation. Défavorables à une telle option, ils tinrent en échec toute idée de rassemblement et de voyage. Devant l’irrésolution et le refus de la diaspora juive de se rendre en Palestine, les responsables politiques et religieux sionistes conclurent qu’il fallait quelque chose de fort et de radical pour obliger les juifs éparpillés à travers le monde, et surtout ceux vivant en Europe, à quitter leurs pays d’accueil. Ils fomentèrent un plan diabolique et luciférien en proposant à Hitler une aide conséquente sur tous les fronts afin qu’il occupe dans les brefs délais et à moindres frais le vieux continent. Ils lui suggérèrent de commencer par la Pologne pour s’assurer de la véracité de leurs intentions et de leur engagement à ses côtés. Toutefois, ils assujettirent leur concours à une certaine condition : Hitler devait persécuter et exterminer les israélites où qu’ils soient !

Évidemment, cela faisait l’affaire des nazis et le Führer accepta avec le sourire. Il s’en est suivi une véritable chasse aux sorcières et ce fut l’holocauste, le plus terrible et le plus abject des massacres systématiques qu’ait connu le monde. Six millions de pauvres Juifs furent chassés, poursuivis, emprisonnés, déportés, parqués, séparés, sélectionnés, utilisés comme des cobayes, humiliés à l’extrême et finalement assassinés sauvagement et diaboliquement. C’était l’horreur dans les camps de concentration où la mort était lente, mais scientifique et certaine. C’était un épisode noir de l’histoire humaine qui restera gravé à jamais dans la mémoire collective de l’humanité… »

Hein, monsieur Hamas ! Crois-tu que les gens qui ont été capables d’emmener les leurs aux fours crématoires seraient cléments envers les autres, les étrangers et surtout les bougnoules comme toi ? C’est l’enfer sur Terre qu’ils te réservent pour te tuer dans la durée. Ils doivent jubiler en te faisant souffrir avant de te détruire. Sache qu’ils sont derrière l’imposture du fameux onze septembre où ils ont massacré froidement plus de trois mille fonctionnaires. Ils font du cinéma réel et vrai avec des acteurs qui ignorent tout de la comédie. Fais attention où tu poses les pieds, monsieur Hamas ! Ces gens-là sont indignes de confiance et n’obéissent à aucun précepte moral.

Souviens-toi qu’ils ne font jamais de cadeaux et l’autonomie qu’ils ont permise à Gaza n’est en fait qu’une fleur empoisonnée. Alors, accorde-toi un temps de réflexion et mets un bémol à ta complaisance vaniteuse. Rappelle-toi que, dès que les colons furent partis de Gaza, celle-ci fut transformée en bantoustan et plus tard en une véritable prison. Depuis, rien n’y rentre ni n’en sort sans l’aval des autorités israéliennes. D’ailleurs, comme tu le sais, celle-ci subit un blocus abominable sous le regard impuissant sinon complaisant de toutes les nations, mis à part quelques pays dits de confrontation. Ces Israéliens ont beaucoup appris des méthodes nazies et le peuple palestinien est là, hélas, pour les essuyer.

Quelle différence y a-t-il entre Gaza et un camp de concentration ?

Il ne manque que la crémation ! Mais c’est chose réglée ! Selon la planification, cette opération échoit, désormais, à l’artillerie et à l’aviation.


Monsieur Hamas, ces gens-là sont sans scrupules et ils ne le cachent pas. Au contraire, ils le montrent clairement, ils l’annoncent à cor et à cri, et ce, même à leurs propres enfants. N’as-tu jamais entendu parler du protocole Hannibal ? Oui, Tsahal tue ses soldats pour éviter qu’ils soient capturés, afin qu’ils ne fassent pas une monnaie d’échange et un facteur de pression lors des négociations. Ce procédé porte aussi le nom de « Directive Hannibal » ; elle ordonne aux combattants israéliens d’utiliser tous les moyens de feu pour tuer ceux parmi eux qui auraient la malchance de tomber dans les filets de l’ennemi. Oui, monsieur Hamas, un soldat israélien mort est préférable à celui prisonnier. Quand le sionisme se repaît de fascisme, le résultat ne peut être que satanique.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire