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jeudi 27 juillet 2017

Le printemps palestinien

L’évènement est d’une extrême gravité, souligne un journal français en commentant l’attentat commis par les Jabarines contre deux policiers israéliens qui ont été tués par balles, près de La Porte des Lions à l’entrée est de la ville Al Qods. Malheureusement les trois braves palestiniens furent poursuivis et abattus devant l’Esplanade des Mosquées. Selon le Shin Beth, le service de sécurité intérieure israélien, les trois assaillants sont des Arabes israéliens originaires d’Oum Al-Fahm. Donc, ce sont des Arabes « israelisés » et non des Palestiniens colonisés qui se sont rebellés contre l’ordre établi en tuant de bon matin des Druzes israéliens. En effet, les trois Jabarines (Mohamed 29 ans, Abdelatif 19 et Mfadal 29) viennent de tenir la dragée haute à l'Autorité palestinienne en se sacrifiant en martyrs. Quant aux autres palestiniens, les trois chahids viennent de leur placer la barre très haute en leur montrant le chemin de la liberté et de la libération.

La gravité extrême vient du pantin de l’Autorité palestinienne qui s’est autoproclamé Président pour servir les plans machiavéliques israéliens au détriment de la cause palestinienne qu’il continue d’affaiblir et d’asphyxier. Il est le premier, avant même Netanyahou et les autres israéliens, à condamner cet acte de bravoure et de témérité. Oui ce « Raïs » vient encore une fois jeter l’anathème sur tout ce qui est révolutionnaire en réagissant promptement pour plaire à ses maîtres et seigneurs qui l’ont critiqué pour son refus supposé de dénonciation des violences palestiniennes. Cette fois, il les a devancés. En leur damant le pion ainsi, il a mis fin à toute spéculation. Quelle témérité ! Alors que l’entité sioniste dressait les barrages et autres portails électroniques, monsieur se préparait à partir en voyage . Alors que l’imam de la mosquée Al Qods appelait à la mobilisation générale, monsieur s’envolait pour Pékin. La Palestine se trouverait-elle en Chine ? Aux dernières nouvelles, il paraît qu’il a menacé de couper les communications avec L’Entité sioniste, mais pas toutes, évidemment. C’est juste pour faire taire quelques voix l’appelant à dénoncer la coordination sécuritaire. Il y a quelque temps, ce faux leader avait appelé les pays africains à renouer avec l’État hébreu. Cela renforçait la solution des deux États en donnant du tonus à la cause palestinienne, disait-il, entre deux singeries courtoises.

Il y eut trois guerres entre les Arabes coalisés et les États-Unis représentés par l’Entité sioniste et il y eut trois nekbate, nekssate et mendbate. Même l’armée d’Oum dounia n’est pas arrivée à bout de l’armée de Tsahal. L’Entité en est sortie, non seulement glorieuse, mais aussi invincible ! Oui, elle peut se targuer d’une telle prouesse, elle a semé définitivement le doute dans le subconscient des armées arabes. Désormais, les Arabes vont réfléchir à cent fois avant de penser à lever une armée contre les Israéliens. Cependant, une autre entité, toute petite, en l’occurrence la Résistance libanaise, a réussi, non seulement à relever l’affront, mais à sauver l'honneur arabe et musulman. Elle a tenu en échec la meilleure armée du monde en réduisant à néant le mythe de son invincibilité. Pire encore, elle a défoncé en 2006 surtout, et ultérieurement, les assises et les fondements de la théorie offensive de l’armée israélienne. Mise en échec, celle-ci se replia, obligée, sur la défensive, car la peur venait enfin de changer de camp. Oui, l’Entité prenait conscience que les missiles et les moudjahidines du Hezbollah pouvaient l’atteindre au sein même de ses quartiers les mieux protégés et défendus. Idem pour les moudjahidines de Gaza qui ont réussi à tenir en échec ses unités blindées et à attaquer ses arrières pour en faire des prisonniers. En effet, les hommes-grenouilles d’Al kassam avaient innové en la matière en surprenant une unité élémentaire.

S’appuyant sur l’histoire récente et sur les conclusions des guerres précédentes, il ne peut y avoir victoire en menant des batailles de type classique. Ne jouissant pas de profondeur ni d’arrière stratégique, l’Entité est condamnée à faire la guerre hors des frontières des territoires qu’elle occupe. D’ailleurs, ce sont des experts en stratégie militaire qui ont manigancé, puis initié, la coordination sécuritaire avec l’Autorité palestinienne, de façon à empêcher toute idée de guerre interne. Admirez le génie de la trouvaille ! Autorité palestinienne signifie autorité sous tutelle israélienne. Celle-là joue le rôle de police en déchargeant l’Entité sioniste de ses responsabilités d’occupant vis-à-vis des autochtones. Et c’est le pharaon palestinien aidé de ses sbires qui s’occupe de la basse besogne. Il me rappelle le Caïd de chez nous en quelque sorte. Le talon d’Achille se trouve à l’intérieur des terres occupées et ce ne sont ni les Arabes ni les musulmans qui vont libérer la Palestine, mais bel et bien les Palestiniens, pour peu qu’ils arrivent à libérer d’abord Palestine des traîtres et autres faux palestiniens. Par Celui qui détient la royauté de la Terre et des Cieux, Palestine ne sera libérée que si Fatah, Hamas et compagnie disparaissent à jamais. Avec ces organes en locomotives plurielles pour un même train, les Israéliens peuvent dormir sur leurs deux oreilles et ne pas s’inquiéter des lendemains.

Les Arabes et tous ceux gravitant autour de leur centre sont démunis de toute perception, ils ne peuvent avoir une conception claire et d’avenir. Les vues israéliennes sont de longues portées et les plans américains sont centenaires sinon millénaires. Seuls les esprits arabes sont grippés, et ce pour longtemps, car ne tournant pas rond. Ils sont assujettis à la complexité de leur passé et handicapés par leur lourd héritage religieux. Le Hamas et le Fatah, pour ne citer que les principales factions, sont incapables de dépasser leurs différends, ils hypothèquent dangereusement le devenir de leur pays . Autour d’eux, le printemps arabe fait rage. Ces fausses révolutions arabes sont justement fomentées et alimentées par le fameux tandem composé de l’Amérique et d’Israël. Les leaders palestiniens sont incapables de faire des projections qui s’imposent d’elles-mêmes pourtant, car tout à fait logiques. Le Hezbollah leur a démontré par A+B comment venir à bout de l’Entité, mais ces messieurs égocentriques et imbus de leurs propres personnes ne peuvent voir plus loin que le bout de leur nez. Pourtant, des Palestiniens, mains nues, leur balisent le vrai et seul chemin à suivre de leurs corps et de leur sang. En principe par respect à ces centaines de martyrs, tous les leaders palestiniens doivent se suicider. Oui, incapables de prendre les armes, ils doivent disparaître pour libérer la place aux vrais révolutionnaires et aux véritables meneurs. Le peuple palestinien est en droit de les priver de la nationalité. En effet, au lieu de combattre l’ennemi, ils luttent contre les leurs en faveur de l’Entité qui les soudoie, sous-traite et emploie.

Vivement le printemps palestinien ! Oui, c’est la solution idéale pour venir à bout de cette hydre calamiteuse. Il faut retourner contre elle ses propres armes, lui rendre la pareille. Fragile de l’intérieur, elle ne peut être que vulnérable. Cependant, il faut que les Palestiniens s’unissent sous un seul commandement. Il est impératif que tous les partis prononcent leur dissolution pour adhérer en masse à un seul organe. Cette opération sera dévolue aux militants habitant Al Qods. Oui, seuls ces gens défiants, les mains nues, les Israéliens, sont capables de mener à bien cette refonte et cette restructuration. Il faut du sang neuf et des leaders neufs. Tous les anciens du Fatah, du Hamas et des autres factions doivent être inéligibles aux fonctions supérieures ; par contre, ils doivent impérativement encadrer les sections de choc et de feu. Oui, ils doivent être aux premières lignes en menant le combat réellement et non siéger aux parlement ou autres assises et plateaux de télévision. Et tous ces ministres à la con autour d’un président bête et sénile qui ne font que freiner la révolution à longueur de temps ! Pour présider, gouverner, il faut d’abord avoir un pays libéré et un peuple libre à administrer.

Le peuple palestinien est brave et courageux, seulement il n’a pas eu la chance d’avoir des leaders à la hauteur de ses sacrifices et de ses espoirs. Il faut voir ces femmes courageuses affronter les hordes sauvages entre militaires et policiers à Al Qods et à Gaza sans jamais baisser les bras. Des jeunes à la fleur de l’âge se sacrifient, alors que des caciques rasés de près se pourfendent la rate dans des bureaux climatisés à l’abri des vents, du soleil et de la faim. Touchant un salaire exorbitant pour palabrer à l’occasion, ils asticotent leurs peaux pour paraître toujours plus beaux. Ils entretiennent leurs langues pour qu’elles soient prolixes, mais, hélas, uniquement de bois. Ces gens doivent disparaître de la circulation. Oui, leur disparition sera à l’identique de la nuit du destin apparaissant pour la cause et le peuple palestiniens. Leur départ volontaire ou forcé rendra d’emblée d’énormes services à la cause palestinienne et au pays.

En trois jours, les moudjahidines de Hezbollah ont dérouté les chiens galeux de Jebhate Nosra. Toutefois, une quinzaine de martyrs et une cinquantaine de blessés sont à déplorer dans les maquis d’Arsal et de Flitta. Cela fait plus de dix ans, aucun leader ou membre du Fatah n’est tombé au champ d’honneur et ça dit faire de la résistance contre les forces d’occupation. Des généraux iraniens ont arrosé de leur sang précieux le sol syrien tout aussi précieux. Que font les généraux et autres officiers et officiels Palestiniens ? Eh, bien, ils se roulent les pouces en attendant qu’un véritable Palestinien pète les plombs en s’attaquant à des Israéliens pour l’appréhender et le mettre aux fers. Des dizaines de milliers d’officiers palestiniens titulaires de tous les diplômes militaires décernés par les états-majors des armées arabes, où ils ont accompli leurs formations éternellement renouvelées, se la coulent douce aux frais de la princesse, à un canon de fusil de l’occupant. Que fait l’ambassadeur de Palestine en Algérie ? Explique-t-il la cause palestinienne aux Algériens ? Est-ce pour préserver les intérêts de Palestine et ceux de la communauté en Algérie ? Si au moins les ambassades palestiniennes recrutaient les Arabes et autres musulmans en leur offrant la nationalité pour aller gonfler les rangs et participer au combat aux côtés des laissés-pour-compte palestiniens. L’Entité sioniste le fait depuis longtemps en rameutant tout juif en lui accordant le droit du sol et la nationalité. Les membres du Fatah associés aux députés et aux fonctionnaires de l’armée et de la police formeront une quantité non négligeable de bataillons. Sans les enfants de la pierre et sans l’apport d’autres Arabes, ils peuvent libérer la Palestine rapidement. Seulement, ces gens tirés sur leur trente-et-un, ces cols blancs et ces ronds de cuir ne veulent aucunement perdre leurs privilèges et encore moins mourir. Il est impératif de créer une Résistance à l’image de Hezbollah; cette appellation -Hezbollah de Palestine- aura le mérite de semer la terreur chez l’occupant. Allez-y, pour une fois ! Mourez, les armes dans les mains, et non de vieillesse dans vos lits ! Montrez-nous que vous êtes des hommes amoureux de la patrie.

Un gardien israélien vient de tuer deux Jordaniens à l’intérieur de l’ambassade israélienne en Jordanie. Netanyahou intervient à la minute près et communique directement avec le tueur. Il lui témoigne sa reconnaissance en l’assurant de son soutien indéfectible. Il lui promet de le rapatrier illico presto, sain et sauf, surtout. En parallèle, il reçoit une communication de Sa Majesté hachémite qui lui demande la permission d’interroger l’incriminé. La réponse est brève, nette, précise et surtout cinglante: niet ! Le roi se justifie en déployant sa sagesse adverbiale pour démontrer au Premier ministre sioniste que c’est juste une formalité, surtout pour taire éventuellement des voix populaires. Niet ! Il dispose de l' immunité diplomatique. Au même moment, alors que les services de sécurité israéliens prenaient leurs mesures pour protéger leur élément, le ministre jordanien de l’Intérieur opérait un état de siège massif et spectaculaire autour de l’ambassade israélienne dans le seul but de la protéger d’une hypothétique vindicte populaire. Celle-ci n’aura jamais lieu, les masses arabes, de ce côté-là, ayant tété depuis longtemps le biberon de la normalisation avilissante. Alors que le père d’une des deux victimes pleurait son fils à chaudes larmes, le même ministre contrôlait en personne le véhicule du défunt à la recherche de quelques objets pour le taxer de terroriste. Oui, cela aurait facilité les choses pour le bien des uns et des autres. Il fallait laver le criminel israélien. Mieux encore, les officiels Jordaniens lui donnaient raison d’avoir tué leurs deux citoyens. Au même moment, le tueur était reçu en héros par le chef du gouvernement israélien. Ce geste indélicat était juste pour avilir le roi. Et ce géniteur qui ne cachait pas sa douleur, pourquoi pleurait-il ainsi ? N’avait-il pas permis à son fils de travailler dans une ambassade ennemie ?


Outre-Atlantique, alors que les moudjahidines de Hezbollah donnaient au Liban tout entier ses lettres de gloire, le chef du gouvernement libanais appuyait par ses sourires les déjections d’un saltimbanque américain. En effet, lors de la conférence de presse tenue conjointement, Trump n’a pas lésiné sur les mots pour passer au vitriol Hezbollah en présence de Hariri qui acquiesçait par sourires interposés. D’aucuns diront que diplomatie oblige, il aurait été inconvenant de désobliger son hôte. Cependant, l’hôte, n’y allant pas du tout du dos de la cuiller, faisait fi de toutes les règles et convenances. Il aurait eu au moins la décence de respecter son invité. Arrogants et voyous, ces Américains ne s’embarrassent guère de ces chimères s’agissant d’Arabes leur léchant le c… Le mot est peut-être déplacé, mais pas aussi dur pour schématiser la déliquescence et l’avilissement des Arabes. Portant la casquette de chef du gouvernement, Hariri représente tout le Liban et non un parti, caste ou ethnie. Le minimum était d’expliquer à Trump et compagnie que Hezbollah est une résistance nationale, et non une faction terroriste. Vendu et ne portant pas en sainteté la Résistance libanaise qui venait encore une fois de redorer le blason du Liban et du monde arabe et musulman, Hariri jubilait aux propos déplacés, haineux et vils de son vis-à-vis. Hezbollah, par la pertinence de ses interventions, a épargné au Libanais et au Liban une véritable descente aux enfers. C’est ainsi que Hariri lui témoigne sa reconnaissance. Le chien mord-il la main qui le nourrit ? Hélas, Hariri mord la main de celui qui le protège et le sauve !  

5 commentaires:

  1. Votre poésie,est insolite!Votre style dans la plupart de vos écrits(se nourrissant de l actualité ou de son interprétation)que se soit dans l aspect formel dans lequel vous le présentez sur votre blog et comme je l écrivais plus haut , dans les contenus thématiques )relèvent de l analyse journalistique, voir une définition "le journaliste affiche un désir d'aller plus au fond du sujet pour apporter des éclaircissements au lecteur et lui permettre de mieux comprendre le problème. La réflexion est plus marquée dans ce genre rédactionnel où le journal est animé par un souci de livrer une information au lecteur à la lisière de sa propre lecture des événements. L'explication et la démonstration sont alors plus manifestes et plus soutenus." Fin de la définition M Benaissa vous etes un grand jounaliste et vous pouvez aussi etre un grand repoter!

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  2. Élémentaire, mon cher, aurait dit une certaine Amina Lagha. Le style est aussi une empreinte qui peut s'avérer être un indicateur capital. Oui, c'est en quelque sorte le fil d’Ariane. J'apprécie à sa juste valeur votre commentaire en souhaitant vous lire en respectant votre désir...Anonyme!

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  3. C est vrai, je creuse,puis je creuse si on arrive a déterminer, "cette technique d ecriture,propre a votre style et l ensemble des éléments utilisés qu ils soient liés a l écriture elle-meme et aux différents catalyseurs qui étayent vos écrits :icones,éléments sonores,photos de journaux....Amina Lagha soufflera a Ariane comment appréhender ce Nouveau genre d écriture et mener a terme ses balbutiements pour les élever vers ,qui sait, une écriture que je ne veux pas nommer encore et donnera naissance a un style moderne,nouveau qui s imposera de lui-meme dans les rayons d une bibliothèque JE CREUSE mais n arrive pas a faire de votre gigantesque travail "un produit fini" comme les maisons d éditions le désir! Pour elles, "le livre est un produit a commercialiser" il faut donc "l étiqueter(son genre,ses formes ses couleurs métaphoriques..,le préfacer...Il ne veulent pas perdre de temps a découvrir les relations injectives de vos écrits a vous de montrer qu a la place d une métaphore basique,vous utilisez un substitut qui peut etre un support sonore, une icone ou....Il faut que la grille virtuelle qui génère l écriture chez la majorité des écrivains soit comparée a la votre ;on peut s orienter vers les théories de la littérature comparée mais non Je creuse,l esprit humain utilise une bonne vielle ligne de conduite pour "classer" et éditer des ouvrages La est mon Hic votre travail doit etre décrypter dans sa globaliter,observer,emettre différentes hypothèses et appliquer cette loi "d injectivité" qui rapprochera ce que l ont lisait comunémment en associant les composantes des grilles virtuelles communes a la grille virtuelle qui est la votre ex: La chanson de Julia Boutros correspondrait a une nouvelle figure de style "a deux tranchants" Je sais que vous m avez comprise Et je creuse toujours M.Benaissa POUR arriver,inchallah, a mettre au jour cette nouvelle écriture qui n a encre de place que dans le coeur de vos lecteurs et vos lectrices Pas si élémentaire que ça LOL

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  4. Bonjour,
    Je te présente toutes mes excuses,car je viens juste de lire ce commentaire que je trouve non seulement pertinent , mais novateur et audacieux aussi dans la mesure où il porte un regard inquisiteur sur une plume qui ne s'encre qu'au sang du cœur. Je reviendrai...suis au four et au moulin.

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  5. Bon après-midi: Je pense que écrits doivent etre(entres autres formes d éditions) présentés sous forme de "livre-audio) mais pour cela il faut penser a un interprète qui chantera "les chansons que vous avez choisi comme "figures de style:métaphores.... Sinon en ce qui concerne vos livres ils peuvent etre d excellents scénarios pour courts ou longs métrages C est encore loin de ce que je pressens mais a mon avis ce sont deux techniques dans lesquelles vos écrits peuvent etre présentés au "grand public.

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