Au firmament de l’encore
Le bruit sourd des peaux dilatées.
L’ombre frôle la démesure, la surpasse
Au-delà de la perception sonore.
Les doigts de la main repassent
La peau se plie
Au fer de la délicatesse
La peau écoute
Le dérouler de la tendresse.
Les plis se font et se défont.
Plus agiles, les doigts reptiles
Sur le sable de la peau
Glissent et ondulent.
Les plis froissés
Les oubliés des caresses
La peau rebelle se dresse
Les doigts inventent le cri
En pinçant le pli
Comme une corde de guitare
Les ombres se dilatent
La peau devient cithare.
Le ciel au goût de miel
Se penche avec avidité
Le temps bascule
L’instant encense la vie
Ça sent la rose
De par le nid
L’amour, sans bruit, se construit.
L’instant dégoupillé
S’arme d’impatience
Au fil or de l’amour
Faufile un ourlet de tendresse.
Au premier traité de la trêve
Où s’enchaînent l’amour et le temps
Le silence achève
Les derniers mots.
La parole devient brève
Elle est instant
Elle devient peau.
La guerre des sens commence
Le «nous » se grève
Sur le glaive vaincu du silence
Tout se joue
Se noue
Se dénoue
Tout devient turgescence
Les « je » se mobilisent
La bataille s’improvise
Des cœurs en partance.
Les doigts s’agrippent aux murs
Bleus de l’incandescence
À blanc, les esprits en vacance
Sur une terre d’oubliLe bruit sourd des peaux dilatées.
L’ombre frôle la démesure, la surpasse
Au-delà de la perception sonore.
Les doigts de la main repassent
La peau se plie
Au fer de la délicatesse
La peau écoute
Le dérouler de la tendresse.
Les plis se font et se défont.
Plus agiles, les doigts reptiles
Sur le sable de la peau
Glissent et ondulent.
Les plis froissés
Les oubliés des caresses
La peau rebelle se dresse
Les doigts inventent le cri
En pinçant le pli
Comme une corde de guitare
Les ombres se dilatent
La peau devient cithare.
Le ciel au goût de miel
Se penche avec avidité
Le temps bascule
L’instant encense la vie
Ça sent la rose
De par le nid
L’amour, sans bruit, se construit.
L’instant dégoupillé
S’arme d’impatience
Au fil or de l’amour
Faufile un ourlet de tendresse.
Au premier traité de la trêve
Où s’enchaînent l’amour et le temps
Le silence achève
Les derniers mots.
La parole devient brève
Elle est instant
Elle devient peau.
La guerre des sens commence
Le «nous » se grève
Sur le glaive vaincu du silence
Tout se joue
Se noue
Se dénoue
Tout devient turgescence
Les « je » se mobilisent
La bataille s’improvise
Des cœurs en partance.
Les doigts s’agrippent aux murs
Bleus de l’incandescence
À blanc, les esprits en vacance
Où finit la vie et recommence.
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